Aurec-sur-Loire
France
Cette déconstruction fait, pour lui, référence à la fragilité du temps qui passe, la fragilité du moment, des choses et des êtres. Comme c’est le cas pour cette fresque, il peint des visages et des portraits qu’il fragmente pour ne laisser d’intact que le regard. Ici, le regard de cette personne est entier et nous fixe alors que le reste de son visage est comme déchiré, fragmenté.